Le groupe

Jesus Volt en quelques chiffres, c'est 15 ans d'existence, plus de mille concerts (France, Allemagne, Belgique, Suisse, Pays-Bas, Italie, Espagne, Pologne, Australie….), mais aussi et surtout quatre fortes personnalités :
Lord Tracy (chant et harmonica), El Tao (guitare), Fuzzy Bear (basse), et Holy Bear (batterie).

Jesus Volt en quelques mots, c'est un groupe soudé, homogène et mature, qui a su canaliser son énergie sans en perdre la substance, apprivoiser son grain de folie pour le mettre au service de sa créativité, et utiliser sa grande expérience de la scène pour aller de l'avant et nourrir sa musique.

Jesus Volt en quelques notes, c'est un rock totalement actuel mâtiné d'électro, une construction musicale riche basée sur de solides fondations, qui vont du blues des années 40 et 50 au funk des années 70, en passant par la soul et le rock’n'roll, tout en gardant bien sûr les oreilles grandes ouvertes sur les musiques du 21ème siècle.
C’est sous la bannière New Rock Blues que pourrait se décliner l’univers musical du premier album de Jesus Volt, “Always Drunk , Never Sad” sorti en 2000.

En 2003 suite à leur rencontre avec Jean Marie Aerts (Arno, Beverly Jo Scott, Urban Dance Squad), ils enregistrent “Electro Button Funky Coxxx”. Le réalisateur les pousse, avec succès, hors de leurs frontières musicales pour flirter avec les sons électro et funk.

Troisième album du groupe, "In stereo" a été enregistré en Juillet 2005 au Chalet (Bordeaux), sous la houlette magistrale de Tony Cohen, producteur australien qui a travaillé notamment avec Nick Cave, Sacred Cowboys ou encore
Michael Hutchence, et qui a "craqué" sur Jesus Volt en 2004, lors d'une tournée du groupe dans son pays natal. Quelques invités, et non des moindres, sont venus prêter main forte aux quatre membres de Jesus Volt, parmi lesquels : Arnaud Mellier alias "DJ Cook", du groupe Ripley, aux scratches & beats ;
Boney Fields à la trompette et aux choeurs ; Nicolas Liesnard aux claviers ; et Frédéric Girard aux percussions.

En 2008, Jesus Volt sort enfin son LIVE. Une captation digne des grands « LIVE » des années 70, exercice obligatoire et décisif à cette époque pour la reconnaissance éternelle ou le mépris définitif. Jesus Volt prouve ici que la musique doit être en perpétuel mouvement, aborde les 10 compositions de cet
album avec fraîcheur, déterre à coup de beat box, samples et autres hurlements voodoo les 2 reprises que sont « Mannish Boy » et « John the Revelator » afin de mieux les ressusciter.

Après avoir débauché Tony Cohen, ils ont encore une fois décroché le gros lot ! Ce n’est autre que la pointure des producteurs de rock australien, l’oscarisé Mark Opitz, à l’origine de quelques-uns des meilleurs albums d’INXS, AC/DC
ou KISS, mais aussi Bob Dylan, Alice Cooper ou Hoodoo Gurus, qui sera le chef d’orchestre de leur nouvel album « Vaya Con Dildo ». Et pour en rajouter une couche, ils se sont également adjoint les services de Peter Deimel, l’ingénieur du son le plus doué de sa génération qui, dans son studio BlackBox à Angers, véritable caverne d’Ali baba de matos vintage, a travaillé avec The Kills, Hushpuppies, Deportivo, Deus…

Résultat : un énorme album de rock.
Un mélange explosif de guitares et de batterie puissante.
Un son beau, aérien, tendu, intense.
Du rock à vous en donner la chair de poule !
Non seulement Jesus Volt confirme que le rock n'est pas une musique d'hier, mais il prouve qu'avec un peu d'intelligence, de sensibilité, d'ouverture et de talent, il est même prêt à affronter demain !