Un Américain qui s’inspire de l’Europe des années 70 et son cinéma trash, sa musique post-psychédélique : ça donne Umberto, dont cet album est un étonnant mélange entre un Daft Punk lo-fi et une BO de film d’horreur. Ça fait frissonner et, étrangement, ça donne aussi envie de danser, de réveiller les morts. Par Joseph Ghosn & Sarah Constantin (GQ France)