Température de la demande en concert
Le groupe
La poésie a, un jour, rencontré un batteur, qui, lui même a rencontré un guitariste, qui lui a rencontré un pianiste, qui voulait monter un groupe…
Si on veut résumer Van Susans, c’est comme ça qu’il faudrait le faire….
Au départ, trois frères, Rob (batterie), Eddie (guitare) et Tim (basse) qui composent et gratouillent ensemble depuis le bac-à-sable, et inspirés par une idée commune de créer un groupe. De gratouillage en répétition, ils rencontrent Olly A. (chant, guitare) et Olly G. (claviers). Et tout s’enchaine.
Le groupe compose et monte sur scène, et très vite leur pop pêchue et entraînante séduit le public londonien.
Les premiers fans lancent un bouche à oreille qui prend aussitôt et leur permet de toucher, en moins de deux ans d’existence et 20 ans au compteur, près de 36 000 fans sur Facebook et autres réseaux sociaux. Van Susans réfléchit à son premier album et recrute Holly au violon.
Leur envie d’aller plus loin et d’offrir toujours plus au public qui les soutient depuis le début leur inspire une promo originale au moment de la sortie digitale du tant attendu Paused in the Moment : défiler dans les rues de la capitale anglaise, armés d’une banderole à leur effigie et improviser, tout au long de cette journée spéciale, des concerts sauvages…
Pari gagné. Les médias indépendants londoniens ont été soufflés.
Lorsqu’on demande à cette bande de jeunes de parler d’eux, on sent d’abord cette franche camaraderie.
Musicalement, ils nous demandent de ne pas les comparer à Mumford and Sons, même s’ils ont un clavier et un violon, et de voir plutôt du côté de groupes comme Jimmy Eats World, The Levellers ou The Waterboys…
Et quand on leur demande d’expliquer Van Susans, le groupe laisse les rires de côté le temps de raconter l’histoire de ce nom, celui d’un camarade, Dan Susans, tué dans un accident de moto.
Dan devient Van parce que le jeune les soutient depuis le début et croit en leur succès, et dit qu’un jour le nom du groupe sera peint sur son van…
Le 21 juin dernier, Van Susans est venu se présenter au public français à l’occasion de la Fête de la Musique.
La première fois pour eux que les six compères jouaient hors de l’Angleterre…
Si on veut résumer Van Susans, c’est comme ça qu’il faudrait le faire….
Au départ, trois frères, Rob (batterie), Eddie (guitare) et Tim (basse) qui composent et gratouillent ensemble depuis le bac-à-sable, et inspirés par une idée commune de créer un groupe. De gratouillage en répétition, ils rencontrent Olly A. (chant, guitare) et Olly G. (claviers). Et tout s’enchaine.
Le groupe compose et monte sur scène, et très vite leur pop pêchue et entraînante séduit le public londonien.
Les premiers fans lancent un bouche à oreille qui prend aussitôt et leur permet de toucher, en moins de deux ans d’existence et 20 ans au compteur, près de 36 000 fans sur Facebook et autres réseaux sociaux. Van Susans réfléchit à son premier album et recrute Holly au violon.
Leur envie d’aller plus loin et d’offrir toujours plus au public qui les soutient depuis le début leur inspire une promo originale au moment de la sortie digitale du tant attendu Paused in the Moment : défiler dans les rues de la capitale anglaise, armés d’une banderole à leur effigie et improviser, tout au long de cette journée spéciale, des concerts sauvages…
Pari gagné. Les médias indépendants londoniens ont été soufflés.
Lorsqu’on demande à cette bande de jeunes de parler d’eux, on sent d’abord cette franche camaraderie.
Musicalement, ils nous demandent de ne pas les comparer à Mumford and Sons, même s’ils ont un clavier et un violon, et de voir plutôt du côté de groupes comme Jimmy Eats World, The Levellers ou The Waterboys…
Et quand on leur demande d’expliquer Van Susans, le groupe laisse les rires de côté le temps de raconter l’histoire de ce nom, celui d’un camarade, Dan Susans, tué dans un accident de moto.
Dan devient Van parce que le jeune les soutient depuis le début et croit en leur succès, et dit qu’un jour le nom du groupe sera peint sur son van…
Le 21 juin dernier, Van Susans est venu se présenter au public français à l’occasion de la Fête de la Musique.
La première fois pour eux que les six compères jouaient hors de l’Angleterre…
